Le point commun à mes accompagnements: l’amour

Le point commun à mes accompagnements: l’amour

lien entre stress et alimentation émotionnelle

Les personnes qui me suivent un peu savent que je communique sur différents sujets comme les traumatismes, les relations toxiques, les addictions alimentaires ou encore le développement de son activité entrepreneuriale dans le bien être.

Si, bien sûr, chacun de ces sujets a ses spécificités, ils ont également des points communs. Celui que j’aimerai mettre en avant ici est pour moi primordiale pour aller vers la guérison : l’amour de Soi.

Lié à l’estime et à la confiance en soi, l’amour est pour moi le meilleur remède pour faire face aux moments difficiles, se reconstruire ou encore sortir de mécanismes néfastes pour soi.

 

L’amour de soi est également primordiale pour une introspection en douceur, à son rythme ou encore afin d’aller vers la paix et l’harmonie.

 

Je rencontre chez mes clients le même cheminement que le mien.

 

Il y a quelques années, lors d’un exercice de développement personnel consistant à poser sa main sur son cœur et à se dire « je t’aime », je me suis effondrée. En effet, non seulement je ne me l’étais jamais dit mais je ne le pensais pas.

Cette prise de conscience douloureuse m’a ouvert la voie pour changer ce fait.

 

Mais voilà, comment faire ?

Et c’est la même question que se pose mes clients. Comment faire afin de s’aimer davantage ?

 

J’ai reçu toutes sortes de conseils comme méditer sur le concept et je me suis essayée à différents exercices et de soins pour y arriver. Et à ce jour, parce que tout peut changer très vite, je prends les choses autrement.

 

J’aime ma famille, mes amis, je sais être présente pour les aider quand je peux donc déjà, je sais ce qu’est l’amour. Il me reste juste à le diriger vers moi. J’ai donc commencé à poser un autre regard sur moi en essayant d’apercevoir mes qualités, en cherchant ce que je fais de bien. Je me suis essayée à davantage de douceur dans les gestes envers moi-même. J’ai commencé à reformuler mes pensées lorsqu’elles étaient négatives envers moi.

 

C’était un début.

 

Puis une relation toxique m’a mis à plat, du moins partiellement. Alors que je doutais de moi, que j’avais perdue tous mes repères, que je ne savais plus où j’en étais… Mon ex-associé qui voulait me ramener à sa cause a indiqué au milieu d’un message qu’il connaissait ma fragilité…

Et là du plus profond de mes tripes, une certitude est remontée : peu importe l’état dans lequel je me trouve, peu importe le temps que cela prend, je me relève toujours.

 

De là, j’ai compris l’importance de l’amour de soi pour ne plus accepter d’être maltraitée par les autres. Parce que oui, chacun fait ce qu’il peut mais j’ai le droit de me choisir en désirant un environnement respectant mes limites, me donnant envie de sourire et non de pleurer, me permettant par effet miroir de me sentir de mieux en mieux.

 

Je ne peux pas espérer un environnement comme cela si je ne me le donne pas à moi-même, j’ai donc profité de ma reconstruction suite à cette relation pour poser un autre regard sur moi, sur mes capacités, sur mes forces, sur mes qualités…

Et même si cela ne m’empêche pas d’avoir encore des doutes parfois ou des moments plus compliqués, je sens que mon intention d’amour envers moi fait son effet, petit par petit, un jour après l’autre.

 

Et si vous aussi vous vous lanciez ? Quel serait la première petite action vers vous-même que vous pouvez mettre en place immédiatement ?

Comprendre les besoins nutritionnels de son corps

Comprendre les besoins nutritionnels de son corps

lien entre stress et alimentation émotionnelle

Il existe différents professionnels de la santé pouvant aider à une prise en charge personnalisée concernant la nutrition et les besoins fondamentaux du corps. Je ne peux que vous encourager à aller les consulter plutôt que de suivre le dernier régime à la mode. En parallèle, découvrir comment le corps fonctionne et ces besoins permettront des prises de conscience.

 

Cela permet différents avantages :

 

  • La compréhension des besoins nutritionnels :

En apprenant les bases de la nutrition, on comprend mieux les types d’aliments nécessaires pour maintenir une santé optimale. Cela permet de sélectionner des aliments qui fournissant les nutriments essentiels dont le corps a besoin et de les tester afin de découvrir ceux qui sont les plus adéquats pour soi.

 

  • Des prises de décisions éclairées :

En comprenant les composants nutritionnels des aliments, ainsi que les effets de ces composants sur la santé, on peut prendre des décisions alimentaires plus éclairées. Cela inclut la capacité à évaluer les étiquettes nutritionnelles et à choisir des aliments qui soutiennent ses objectifs de santé.

Cela vaut également pour les étiquettes des produits pour le corps et leur influence sur les hormones du corps.

 

  • L’optimisation de la performance :

Pour ceux qui pratiquent un sport ou une activité physique régulière, comprendre les besoins spécifiques de leur corps en termes de nutrition peut les aider à optimiser leur performance et leur récupération.

 

  • La gestion du poids :

La connaissance de la nutrition permet de comprendre les mécanismes de la prise et de la perte de poids. Cela peut aider à mettre en place des stratégies sur l’alimentation, le stress, les émotions… et ainsi avoir une prise en charge globale pour atteindre et maintenir un poids santé.

 

  • La prévention des maladies :

Une alimentation équilibrée et nutritive et une compréhension du fonctionnement du corps, de ses hormones et autres jouent un rôle important dans la prévention de nombreuses maladies chroniques.

 

  • La démystification des mythes alimentaires :

Il existe de nombreux mythes et idées fausses sur l’alimentation qui circulent dans les médias et la société. En acquérant des connaissances solides en nutrition, on est mieux équipé pour distinguer les faits des idées fausses et pour prendre des décisions éclairées basées sur des preuves scientifiques et son propre ressenti.

 

En conclusion, acquérir des connaissances sur la nutrition et le fonctionnement du corps permettront non seulement de prendre des décisions plus éclairées, mais aussi de promouvoir une meilleure santé et un bien-être général.

Mon expérience: craquage alimentaire

Mon expérience: craquage alimentaire

lien entre stress et alimentation émotionnelle

Changer ses habitudes alimentaires et sortir d’addictions impliquent une prise en charge globale. Cela demande donc du temps, des tentatives qui peuvent ne pas fonctionner immédiatement, des stratégies pour mettre en place de nouvelles habitudes…et dans la majorité des cas, il y a encore des phases de craquage.

 

Si comme moi, vous n’en êtes pas à votre première tentative, il y a deux moyens de fonctionner :

  • Se dire que cette fois-ci, se sera différent et se le répéter pour y croire ;
  • Rester sur ma ligne de conduite qui est de ne plus me battre contre moi-même donc de tenir compte de toutes les possibilités, y compris mes moments de faiblesses qui font partis du processus.

 

Etant partie sur la seconde option, j’ai mis des stratégies en place afin de limiter les dégâts, avec tout de même l’optique de ne plus avoir besoin de tout cela par la suite en me faisant plaisir mais sans perte de contrôle.

 

Voici des exemples de ce que je fais, je vous invite à prendre ce qui résonne en vous et à vous écouter si vous voulez vous-même avoir vos .

 

  • Je cuisine moi-même.

Lorsque j’ai envie de sucré, je peux facilement avaler le paquet de biscuit. En les préparant moi-même, plusieurs éléments changent.

En premier lieu, il y a un temps entre ma pulsion et la fin de la cuisson ce qui me permet de me calmer. Grâce à cela, je vais être capable de manger en conscience pour déguster ce que j’ai préparé et ainsi être moins sous l’emprise de la pulsion.

Ensuite, je sais ce qu’il y a dans la recette et je m’évite tous les conservateurs ou les ajusteurs de gouts qui donnent envie d’en manger davantage.

Et pour finir, en plus de pouvoir manger en conscience, mes biscuits sont plus consistants que ceux en paquet donc j’en mange moins pour davantage de plaisir (je fais ce que j’adore).

 

  • Je fais attention à mes pensées pour ne pas être prise en otage par mon jugement et ma culpabilité

Ce mode de fonctionnement néfaste pour chacun engendre un mal-être qui incite à retourner vers la nourriture pour s’apaiser et là débute le cercle vicieux. Un principe bien-connu dans le coaching se met alors en place : « le foutu pour foutu ». A cause de lui, au lieu d’une petite dérive qui finalement n’aura pas forcément une si grande incidence, il y a un tourbillon vidant placard et frigo pour se remplir au maximum.

 

  • J’analyse avec le recul

Lorsque le besoin, parce que c’est ce que c’est devenu, est assouvi, il est possible pour moi de me poser afin de prendre du recul et d’analyser la situation. Qu’est-ce qui m’a fait réagir ? C’est en découvrant mon fonctionnement, les « boutons on » que je peux apprendre à les désamorcer.

 

En bref, pas de formules miracle, juste des actions me permettant de ne pas détériorer davantage la situation afin de continuer à nourrir mon intention de me mettre en paix avec la nourriture.

L’alimentation comme auto-soin

L’alimentation comme auto-soin

lien entre stress et alimentation émotionnelle

Dans notre quête quotidienne de bien-être, l’alimentation joue un rôle fondamental, souvent sous-estimé. Si nous sommes ce que nous mangeons, alors choisir de nourrir notre corps avec intention devient une véritable forme d’auto-soin. Cet article explore comment transformer notre relation à la nourriture en un acte d’amour de soi.

 

Comprendre l’alimentation comme un auto-soin

 

L’auto-soin, c’est plus que se dorloter avec des bains moussants ou des séances de méditation. C’est une approche holistique de la vie qui inclut l’attention portée à ce que nous consommons. En mangeant consciemment, nous nous connectons non seulement à nos besoins physiques, mais aussi à nos besoins émotionnels et mentaux.

 

Les principes de l’alimentation consciente

 

  • Écouter son corps :

Apprendre à reconnaître les signaux de faim et de satiété est essentiel. Manger uniquement lorsque l’on a faim et s’arrêter lorsque l’on est rassasié permet de respecter son corps.

 

  • Choisir des aliments nourrissants :

Opter pour des aliments riches en nutriments comme les fruits, légumes, grains entiers, et protéines de qualité. Ces aliments fournissent l’énergie nécessaire pour soutenir nos activités quotidiennes et notre bien-être global.

 

  • Prendre le temps de manger :

Manger lentement et savourer chaque bouchée aide à améliorer la digestion et permet de mieux apprécier les saveurs et textures des aliments.

 

  • Cuisiner soi-même :

Préparer ses repas permet de contrôler les ingrédients et de créer une connexion plus profonde avec la nourriture. Cela peut également être un moment de créativité et de relaxation.

 

Les bienfaits d’une alimentation axée sur l’auto-soin

 

  • Équilibre émotionnel :

Une alimentation équilibrée stabilise les niveaux de sucre dans le sang, ce qui peut aider à réguler l’humeur et à réduire le stress. Les aliments riches en oméga-3, comme le poisson gras et les noix, sont particulièrement bénéfiques pour la santé mentale.

 

  • Énergie et vitalité :

En nourrissant notre corps avec des aliments sains, nous augmentons notre niveau d’énergie. Les aliments transformés et riches en sucre peuvent provoquer des pics d’énergie suivis de chutes, alors que les aliments entiers fournissent une énergie durable.

 

  • Santé globale :

Une alimentation axée sur l’auto-soin réduit le risque de maladies chroniques comme le diabète, les maladies cardiaques et certains cancers. Elle renforce également le système immunitaire et favorise une meilleure digestion.

 

  • L’alimentation et l’amour de soi :

Choisir de bien se nourrir est un acte d’amour de soi. Cela montre que nous nous respectons et que nous valorisons notre bien-être. Cet amour de soi peut se manifester à travers des gestes simples, comme préparer un repas équilibré après une journée chargée ou choisir des snacks sains au lieu de céder aux tentations.

 

 

Transformer notre alimentation en une forme d’auto-soin est un voyage qui nécessite de la conscience, de l’intention et de la compassion envers soi-même. C’est une invitation à ralentir, à écouter notre corps et à nourrir notre esprit. En adoptant cette approche, nous pouvons créer une vie plus équilibrée et épanouissante, où chaque repas devient un acte de bien-être et d’amour de soi.

 

Prenez le temps aujourd’hui de réfléchir à votre relation avec la nourriture et faites un petit pas vers une alimentation consciente. Votre corps et votre esprit vous en remercieront

Quand la peur de regrossir a pour conséquence la prise du poids

Quand la peur de regrossir a pour conséquence la prise du poids

lien entre stress et alimentation émotionnelle

Avant une chirurgie de l’obésité, il y a plusieurs mises en garde :

  • L’importance de la prise en charge globale : sport, rééquilibrage alimentaire, nouvelles règles …
  • La perte de poids varie d’une personne à une autre ;
  • Il y a des changements à vie ;
  • En général, il y a une reprise de quelques kilos après la stabilisation ;
  • Sans efforts à vie, il peut y avoir une reprise du poids initial…

 

Bien-sûr, en entendant tout cela, j’ai parfaitement compris que ce n’était pas une chirurgie miracle.

Mais comme vue dans un précédent article, la force de ma projection était énorme et je ne pense pas être la seule dans ce cas.

Il était facile de m’imaginer apaisée et bien dans ma peau après la perte de poids et donc que toutes les préconisations seraient faciles à tenir.

 

Sauf qu’après ma perte, les opérations de chirurgie réparatrice et la stabilisation, les bonnes résolutions deviennent un souvenir. Le quotidien, les mauvaises habitudes liées à mes peurs, mon estime et la mauvaise gestion de mes émotions m’ont ramené à mon mode de fonctionnement initial : un déséquilibre alimentaire.

Et donc un kilo par ci, un autre par là…rien d’alarmant comme je me le répétais. Je voulais croire que je maitrisais les choses et comme j’ai, à ce moment-là, débutait un projet enthousiasmant, je me sentais mieux.

Je me stabilisais de nouveau et pensais qu’en allant bien, mes difficultés étaient résolues…

 

En parallèle de mes péripéties de vie, je suivais le parcours d’autres opérées qui comme moi ont repris du poids. Cela leur était tellement insupportable de revoir les chiffres grimpés, qu’un vrai mal-être s’est installé chez certaines et que la reprise des régimes a repris pour d’autres.

Dans les deux cas, la peur viscérale de reprendre du poids fait ressortir tous les démons cachés derrière car non traités.

Recommencer un régime, déprimer, culpabiliser, se frustrer…n’entraine jamais rien de positif, au contraire. Et en maltraitant son esprit, en rejetant son corps, la conséquence est souvent de reprendre du poids et donc de poursuivre la lutte contre soi-même.