Sortir des habitudes alimentaires néfastes

Sortir des habitudes alimentaires néfastes

Grignotages, addiction au sucre, repas déséquilibrés et/ ou trop copieux… vont impacter la santé physique et la santé psychologique à travers des troubles alimentaires. Cela provoque à la fois des souffrances et l’impression de s’enfoncer dans un trou sans fin.

 

Les conseils du type « il suffit de… » peuvent provoquer de la culpabilité lorsque les tentatives de changements ne fonctionnent pas.

 

 

Grignotages, addiction au sucre, repas trop copieux…

Je suis passée par là depuis 25 ans, passant par de l’obésité morbide.

J’ai donc regroupé ce que j’ai appris dans un Ebook que je vous offre ici.

 

Pas de solutions miraculeuses mais des apports qui pourront vous aider dans votre cheminement vers vous-même…

Évolution des normes de beauté au cours de l’histoire

Évolution des normes de beauté au cours de l’histoire

lien entre stress et alimentation émotionnelle

Les normes de beauté ont évolué de manière significative au cours de l’histoire, influencées par des facteurs culturels, sociaux, économiques et politiques. Voici un aperçu de cette évolution à travers différentes époques et cultures :

 

Antiquité

 

Égypte antique :

– Les Égyptiens valorisaient la symétrie, une peau lisse et claire, ainsi que des yeux soulignés de khôl. La minceur et la jeunesse étaient idéalisées.

– Cléopâtre, par exemple, est souvent représentée avec des traits fins et une peau claire.

 

Grèce antique :

– Les Grecs glorifiaient le corps athlétique et proportionné, tant pour les hommes que pour les femmes.

– Les sculptures de cette époque montrent des formes idéalisées, mettant en avant la symétrie et l’équilibre.

 

Rome antique :

– Les Romains appréciaient la peau claire, les cheveux blonds (souvent obtenus par des teintures) et un corps bien proportionné.

– L’usage de cosmétiques était courant, et les bains publics jouaient un rôle central dans l’entretien de la beauté et de l’hygiène.

 

Moyen Âge et Renaissance

 

Moyen Âge :

– La beauté féminine était associée à la pâleur, signe de noblesse et d’oisiveté (les personnes travaillant à l’extérieur avaient la peau bronzée).

– Les cheveux longs et la silhouette ronde étaient considérés comme attrayants, symbolisant la fertilité.

 

Renaissance :

– Les peintures de cette époque montrent des femmes avec des formes généreuses, une peau claire et des cheveux roux ou blonds.

– La beauté était souvent liée à des notions de richesse et de statut social.

 

XVIIIe et XIXe siècles

 

XVIIIe siècle :

– La poudre blanche pour le visage et les perruques élaborées étaient à la mode parmi la noblesse européenne.

– Les silhouettes corsetées et les robes volumineuses mettaient en valeur une taille fine et des hanches larges.

 

XIXe siècle :

– L’ère victorienne prônait la modestie et la décence, avec des corsets serrés pour accentuer une taille fine.

– La pâleur restait un signe de statut social élevé.

 

XXe siècle

 

Années 1920 :

– Les « flappers » popularisèrent une silhouette plus garçonne, avec des robes droites et des cheveux courts.

– La minceur et la jeunesse étaient valorisées.

 

Années 1950 :

– La silhouette en sablier était à la mode, avec des icônes comme Marilyn Monroe représentant la féminité voluptueuse.

– Les vêtements ajustés et les soutiens-gorge coniques mettaient en avant les courbes.

 

Années 1960 :

– La minceur extrême devint populaire avec des mannequins comme Twiggy.

– Les cheveux longs et raides et les mini-jupes étaient à la mode.

 

Années 1980 :

– L’accent était mis sur le fitness et la santé, avec des corps musclés et toniques devenant l’idéal de beauté.

– Les épaulettes larges et les cheveux volumineux étaient caractéristiques de la mode de cette décennie.

 

XXIe siècle

 

Années 2000 :

– La minceur restait valorisée, avec des mannequins comme Kate Moss définissant les tendances.

– Les interventions esthétiques et la chirurgie plastique devenaient de plus en plus courantes.

 

Années 2010 et au-delà :

– Une prise de conscience croissante de la diversité corporelle et des mouvements comme le body positivity ont commencé à remettre en question les normes de beauté traditionnelles.

– Les médias sociaux ont permis une plus grande diversité de représentations, bien que les pressions pour paraître parfait restent fortes.

 

 

Les normes de beauté ont constamment changé et continuent d’évoluer. Elles sont souvent le reflet des valeurs et des préoccupations d’une société à un moment donné.

A chacun de faire évoluer sa vision pour se mettre en paix avec soi et arrêter de se comparer.

L’influence de la gratitude sur la relation à son corps

L’influence de la gratitude sur la relation à son corps

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La gratitude joue un rôle crucial dans la relation que nous entretenons avec notre corps, en influençant positivement notre bien-être physique et mental. Comprendre et pratiquer la gratitude peut non seulement améliorer sa propre santé, mais aussi enrichir leur approche de la vie. Voici pourquoi la gratitude est si importante dans la relation avec son corps :

 

  • Renforcement de l’image corporelle positive

Pratiquer la gratitude aide à se concentrer sur les aspects positifs de son corps, plutôt que sur ses défauts perçus. Reconnaître et apprécier ce que son corps fait pour soi chaque jour – comme permettre de bouger, respirer, digérer – favorise une image corporelle plus positive et une meilleure acceptation de soi.

 

  • Réduction du stress

La gratitude réduit le stress en encourageant une perspective plus optimiste et apaisante. Moins de stress se traduit par une réduction des hormones de stress comme le cortisol, ce qui a des effets bénéfiques sur la santé globale, y compris la santé physique.

 

  • Amélioration de la santé mentale

Être reconnaissant a des effets positifs sur la santé mentale en diminuant les sentiments de dépression et d’anxiété. Une meilleure santé mentale contribue à une perception plus positive de son corps et à une plus grande motivation pour prendre soin de soi.

 

  • Encouragement des comportements sains

Les personnes qui pratiquent la gratitude sont plus enclines à adopter des comportements sains, comme faire de l’exercice régulièrement, bien manger et dormir suffisamment. Cela est dû à une meilleure appréciation de leur corps et à un désir de le traiter avec respect et bienveillance.

 

  • Amélioration des relations sociales

La gratitude renforce les relations sociales en augmentant l’empathie et la compassion. Des relations sociales positives sont un facteur clé de bien-être global, ce qui inclut le bien-être physique. Un bon réseau de soutien social peut encourager des habitudes de vie plus saines.

 

  • Résilience accrue face aux défis physiques

Être reconnaissant peut augmenter la résilience face aux problèmes de santé. Les personnes reconnaissantes sont mieux équipées pour faire face aux maladies et aux blessures, car elles maintiennent une attitude positive et proactive.

 

  • Amélioration de la qualité du sommeil

La gratitude est associée à un meilleur sommeil. Les personnes qui expriment de la gratitude ont tendance à s’endormir plus facilement, à dormir plus longtemps et à se réveiller moins souvent la nuit, ce qui améliore la récupération physique et mentale.

 

  • Stimulation du système immunitaire

Certaines recherches suggèrent que la gratitude peut avoir un effet positif sur le système immunitaire, probablement en raison de sa capacité à réduire le stress et à améliorer l’humeur. Un système immunitaire fort est essentiel pour une bonne santé physique.

 

  • Augmentation de l’énergie et de la vitalité

Les personnes qui pratiquent régulièrement la gratitude rapportent souvent se sentir plus énergiques et vitales. Cette augmentation de l’énergie peut encourager une plus grande activité physique et une meilleure interaction avec l’environnement.

 

Pratiques pour cultiver la gratitude envers son corps :

 

– Tenir un journal de gratitude : Écrire chaque jour trois choses pour lesquelles on est reconnaissant vis-à-vis de son corps.

– Méditation de gratitude : Pratiquer la méditation en se concentrant sur la reconnaissance de chaque partie de son corps et sur ses fonctions.

– Affirmations positives : Utiliser des affirmations pour renforcer une image corporelle positive.

– Exprimer sa gratitude verbalement : Partager ses sentiments de gratitude avec les autres peut renforcer son propre sentiment de gratitude.

– Prendre soin de son corps : Adopter des routines de soins personnels comme des massages, du yoga ou des bains relaxants pour montrer de l’amour et de la gratitude envers son corps.

 

En intégrant ces pratiques dans la vie quotidienne, corps et esprit s’harmonise pour davantage de bien-être.

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lien entre sommeil et alimentation

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Le sommeil joue un rôle crucial dans la régulation de divers aspects de la santé, y compris l’alimentation. Un sommeil de qualité et en quantité suffisante a de nombreux effets bénéfiques sur les habitudes alimentaires et la gestion du poids.

Voici comment le sommeil impacte positivement l’alimentation :

 

  • Régulation des hormones de l’appétit

Le sommeil influence les hormones qui contrôlent la faim et la satiété, notamment la ghréline et la leptine. Un sommeil adéquat maintient un équilibre sain entre ces hormones :

– Ghréline : Hormone qui stimule l’appétit. Le manque de sommeil augmente les niveaux de ghréline, entraînant une augmentation de la faim.

– Leptine : Hormone qui signale la satiété. Un bon sommeil augmente les niveaux de leptine, ce qui aide à se sentir rassasié plus rapidement.

 

  • Réduction des envies de sucres et de graisses

Le manque de sommeil peut entraîner une augmentation des envies de nourriture riche en calories, en sucre et en graisses. Une étude a montré que les personnes privées de sommeil consomment plus de calories provenant de collations riches en glucides et en lipides.

 

  • Meilleure prise de décision alimentaire

Un sommeil adéquat améliore la fonction cognitive et la prise de décision, ce qui peut conduire à des choix alimentaires plus sains. Les personnes bien reposées sont plus susceptibles de choisir des aliments nutritifs et d’éviter les aliments transformés et les boissons sucrées.

 

  • Stabilisation du métabolisme

Un bon sommeil favorise un métabolisme sain, aidant le corps à utiliser l’énergie plus efficacement. Le manque de sommeil peut perturber le métabolisme, entraînant une diminution de la sensibilité à l’insuline et une augmentation du risque de diabète de type 2.

 

  • Diminution du stress et des comportements alimentaires émotionnels

Le sommeil contribue à la régulation des niveaux de stress. Moins de stress réduit les comportements alimentaires émotionnels, comme le grignotage ou la consommation excessive de nourriture en réponse à des émotions négatives.

 

  • Amélioration de la digestion

Le sommeil permet au système digestif de fonctionner de manière optimale. Une bonne nuit de sommeil favorise un processus de digestion plus efficace et régulier, réduisant ainsi les problèmes gastro-intestinaux comme les ballonnements et la constipation.

 

  • Maintien d’un poids santé

En combinant la régulation des hormones de l’appétit, la réduction des envies de sucre et de graisses, et une meilleure prise de décision alimentaire, un bon sommeil contribue au maintien d’un poids santé. Le manque de sommeil est souvent associé à une prise de poids et à l’obésité.

 

Conseils pour améliorer la qualité du sommeil :

 

– Établir une routine de sommeil régulière : Aller au lit et se lever à la même heure chaque jour, même le week-end.

– Créer un environnement propice au sommeil : Assurer une chambre sombre, calme et fraîche. Investir dans un bon matelas et des oreillers confortables.

– Limiter l’exposition aux écrans : Éviter les écrans (téléphone, ordinateur, télévision) au moins une heure avant de dormir, car la lumière bleue peut perturber la production de mélatonine.

– Pratiquer la relaxation : Intégrer des techniques de relaxation comme la méditation, la respiration profonde ou le yoga avant de se coucher.

– Éviter les stimulants : Réduire la consommation de caféine et d’alcool, surtout en fin de journée.

– Faire de l’exercice régulièrement : L’activité physique régulière favorise un meilleur sommeil, mais il est préférable d’éviter les exercices intenses juste avant le coucher.

– Adopter une alimentation équilibrée : Consommer une alimentation riche en nutriments, en évitant les repas lourds et épicés avant de se coucher.

 

En résumé, le sommeil et l’alimentation sont étroitement liés. En améliorant la qualité de votre sommeil, vous pouvez non seulement bénéficier d’une meilleure santé générale, mais aussi faire des choix alimentaires plus sains, gérer plus efficacement votre poids et réduire les comportements alimentaires émotionnels.

les impacts de la dépression sur l’appétit

les impacts de la dépression sur l’appétit

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La dépression est une maladie mentale complexe qui affecte de nombreux aspects de la vie quotidienne, y compris l’appétit. Les changements dans les habitudes alimentaires peuvent être l’un des premiers signes de la dépression et peuvent varier considérablement d’une personne à l’autre. Cet article explore comment la dépression influence l’appétit, les mécanismes sous-jacents, et les stratégies pour gérer ces changements.

 

Comment la dépression affecte l’appétit ?

 

Perte d’appétit

La dépression peut entraîner une perte d’intérêt pour la nourriture. Les personnes peuvent ressentir une diminution du plaisir à manger, une sensation de satiété rapide, ou un simple manque d’envie de manger. Cette réduction de l’appétit peut conduire à une perte de poids significative et à des carences nutritionnelles.

 

Augmentation de l’appétit

À l’inverse, certaines personnes peuvent ressentir une augmentation de l’appétit lorsqu’elles sont déprimées. Elles peuvent se tourner vers la nourriture comme source de réconfort, ce qui peut entraîner une prise de poids. Cette tendance à la suralimentation est souvent associée à des aliments riches en sucre et en gras, exacerbant ainsi les problèmes de santé.

 

Mécanismes sous-jacents

 

Facteurs biologiques

La dépression est liée à des déséquilibres chimiques dans le cerveau, en particulier les neurotransmetteurs comme la sérotonine et la dopamine. Ces neurotransmetteurs jouent un rôle crucial dans la régulation de l’humeur et de l’appétit. Un déséquilibre peut donc affecter directement les signaux de faim et de satiété.

 

Facteurs psychologiques

La dépression entraîne souvent une diminution de l’énergie et de la motivation, rendant les tâches quotidiennes, y compris la préparation des repas, plus difficiles. L’anxiété, fréquente chez les personnes déprimées, peut également perturber les habitudes alimentaires.

 

Facteurs sociaux et environnementaux

Les personnes déprimées peuvent s’isoler socialement, réduisant ainsi les occasions de repas partagés. Le manque de soutien social et la solitude peuvent exacerber les changements d’appétit.

 

Conséquences des changements d’appétit

 

Problèmes de santé physique

La perte ou la prise de poids significative peut entraîner des problèmes de santé, notamment des carences nutritionnelles, des troubles métaboliques, et une diminution de l’immunité. Les problèmes digestifs comme les troubles de l’alimentation peuvent également émerger.

 

Impact sur la santé mentale

Les changements d’appétit peuvent aggraver la dépression, créant un cercle vicieux. Une mauvaise alimentation peut influencer négativement l’humeur, augmentant la fatigue, l’irritabilité et les symptômes dépressifs.

 

Stratégies pour gérer les changements d’appétit

 

Surveillance et prise de conscience

Tenir un journal alimentaire peut aider à identifier les schémas alimentaires et les déclencheurs émotionnels. Cette prise de conscience est le premier pas vers une gestion efficace.

 

Adopter une alimentation équilibrée

S’efforcer de consommer une alimentation équilibrée, riche en fruits et en légumes, peut aider à stabiliser l’humeur et l’énergie. Éviter les aliments transformés et riches en sucre est également bénéfique.

 

Rythme alimentaire régulier

Essayer de maintenir des repas réguliers, même en l’absence de faim, peut aider à réguler l’appétit. De petites portions fréquentes peuvent être plus gérables que de grands repas.

 

Faire appel à un professionnel de la santé

Consulter un médecin, un nutritionniste ou un thérapeute spécialisé en troubles alimentaires peut offrir un soutien personnalisé.

 

Intégrer l’exercice physique

L’exercice régulier peut aider à améliorer l’appétit et l’humeur. Des activités simples comme la marche, le yoga, ou la natation peuvent avoir des effets positifs significatifs.

 

Soutien social

Impliquer des amis et de la famille dans les repas peut encourager une alimentation régulière et apporter un soutien émotionnel. Participer à des groupes de soutien peut également être bénéfique.

 

 

La dépression a des impacts profonds et variés sur l’appétit, qui peuvent conduire à des complications de santé physique et mentale. Comprendre ces changements et adopter des stratégies de gestion efficaces est crucial pour le bien-être global.

En travaillant avec des professionnels de la santé et en adoptant une approche holistique, les individus peuvent trouver des moyens de stabiliser leur appétit et d’améliorer leur qualité de vie, même face à la dépression.

Comprendre les besoins nutritionnels de son corps

Comprendre les besoins nutritionnels de son corps

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Il existe différents professionnels de la santé pouvant aider à une prise en charge personnalisée concernant la nutrition et les besoins fondamentaux du corps. Je ne peux que vous encourager à aller les consulter plutôt que de suivre le dernier régime à la mode. En parallèle, découvrir comment le corps fonctionne et ces besoins permettront des prises de conscience.

 

Cela permet différents avantages :

 

  • La compréhension des besoins nutritionnels :

En apprenant les bases de la nutrition, on comprend mieux les types d’aliments nécessaires pour maintenir une santé optimale. Cela permet de sélectionner des aliments qui fournissant les nutriments essentiels dont le corps a besoin et de les tester afin de découvrir ceux qui sont les plus adéquats pour soi.

 

  • Des prises de décisions éclairées :

En comprenant les composants nutritionnels des aliments, ainsi que les effets de ces composants sur la santé, on peut prendre des décisions alimentaires plus éclairées. Cela inclut la capacité à évaluer les étiquettes nutritionnelles et à choisir des aliments qui soutiennent ses objectifs de santé.

Cela vaut également pour les étiquettes des produits pour le corps et leur influence sur les hormones du corps.

 

  • L’optimisation de la performance :

Pour ceux qui pratiquent un sport ou une activité physique régulière, comprendre les besoins spécifiques de leur corps en termes de nutrition peut les aider à optimiser leur performance et leur récupération.

 

  • La gestion du poids :

La connaissance de la nutrition permet de comprendre les mécanismes de la prise et de la perte de poids. Cela peut aider à mettre en place des stratégies sur l’alimentation, le stress, les émotions… et ainsi avoir une prise en charge globale pour atteindre et maintenir un poids santé.

 

  • La prévention des maladies :

Une alimentation équilibrée et nutritive et une compréhension du fonctionnement du corps, de ses hormones et autres jouent un rôle important dans la prévention de nombreuses maladies chroniques.

 

  • La démystification des mythes alimentaires :

Il existe de nombreux mythes et idées fausses sur l’alimentation qui circulent dans les médias et la société. En acquérant des connaissances solides en nutrition, on est mieux équipé pour distinguer les faits des idées fausses et pour prendre des décisions éclairées basées sur des preuves scientifiques et son propre ressenti.

 

En conclusion, acquérir des connaissances sur la nutrition et le fonctionnement du corps permettront non seulement de prendre des décisions plus éclairées, mais aussi de promouvoir une meilleure santé et un bien-être général.